Larisa, comme toutes les villes turques, présente quelques grandes maisons, perdues au milieu d' un assemblage coufus de cabanes. Au lieu de places publiques, on ne voit que des espaces remplis d' immondices, des flaque d' eau croupissante; et ses bazars, jadis renommés, perdeut chaque jour leur crédit.
Larisa, comme toutes les villes turques, présente quelques grandes maisons, perdues au milieu d' un assemblage coufus de cabanes. Au lieu de places publiques, on ne voit que des espaces remplis d' immondices, des flaque d' eau croupissante; et ses bazars, jadis renommés, perdeut chaque jour leur crédit.
Larisa, comme toutes les villes turques, présente quelques grandes maisons, perdues au milieu d' un assemblage coufus de cabanes. Au lieu de places publiques, on ne voit que des espaces remplis d' immondices, des flaque d' eau croupissante; et ses bazars, jadis renommés, perdeut chaque jour leur crédit.